Tout savoir sur la cure thermale, une solution thérapeutique naturelle et efficace
Dans En pratique, Thermalisme 24 novembre 2022
Dernière mise à jour le 14 décembre 2022.
Utilisé comme alternative ou comme complément aux traitements médicaux classiques, le thermalisme soulage les affections chroniques de manière naturelle. Bienfaits de l’eau thermale, pathologies prises en charge, soins thermaux, remboursement par l’Assurance maladie, efficacité… On vous dit tout sur la cure thermale !
SOMMAIRE :
- Quelles pathologies peuvent être traitées en cure thermale ?
- Le traitement thermal
- La prise en charge des cures thermales par l’Assurance maladie
- Quel suivi médical pendant le séjour thermal ?
- L’efficacité des cures thermales
- La classification et les bienfaits des eaux thermales
- Comment sont contrôlés les produits thermaux ?
- Quelles différences entre thermalisme et thalassothérapie ?
- L’histoire des cures thermales
- La médecine thermale en France
- Les cures thermales dans le monde
Une cure thermale est un traitement médical basé sur les vertus thérapeutiques des eaux minérales naturelles et de leurs dérivés (boues, vapeurs, gaz). Le séjour thermal se déroule dans un centre thermal, lui-même situé dans une station thermale. Les cures thermales conventionnées sont prescrites par un médecin et durent trois semaines. Les soins thermaux dispensés aident à soulager de nombreuses maladies chroniques sur le long terme.
Quelles pathologies peuvent être traitées en cure thermale ?
La médecine thermale prend en charge les affections chroniques appartenant à 12 orientations thérapeutiques définies par l’Assurance maladie :
- Affections des muqueuses bucco-linguales (AMB) : aphtes récidivants, bruxisme, gingivites, inflammations de la langue, mycoses buccales… ;
- Affections digestives et maladies métaboliques (AD) : constipation, diabète, maladie de Crohn, surpoids et obésité, syndrome de l’intestin irritable… ;
- Affections psychosomatiques (PSY) : addiction aux benzodiazépines, burn-out, dépression, stress et anxiété, troubles du sommeil… ;
- Affections urinaires et maladies métaboliques (AU) : calculs rénaux, cystites et pyélonéphrites récidivantes ou chroniques, troubles de la prostate ;
- Dermatologie (DER) : cicatrices de brûlures, démangeaisons cutanées, eczéma, psoriasis, séquelles de radiothérapie, urticaire rebelle… ;
- Gynécologie (GYN) : douleurs pelviennes, endométriose, infertilité féminine, règles douloureuses, séquelles de cancers de l’utérus et des ovaires, troubles de la ménopause… ;
- Maladies cardio-artérielles (MCA) : angine de poitrine, hypertension artérielle, séquelles d’infarctus, suites de pontage, syndrome de Raynaud… ;
- Neurologie (NEU) : hémiplégie, maladie de Parkinson, névralgie pudendale, polynévrite, sclérose en plaques (SEP), séquelles d’AVC et de zona ;
- Phlébologie (PHL) : insuffisance veineuse, lymphœdème, séquelles de phlébite ou de thrombose… ;
- Rhumatologie (RH) : arthrose, douleurs articulaires, fibromyalgie, mal de dos, ostéoporose, rhumatismes inflammatoires (polyarthrite rhumatoïde et spondylarthrite ankylosante), sciatique, suites de fractures, tendinites, troubles musculo-squelettiques (TMS)… ;
- Troubles du développement chez l’enfant (TDE) : anorexie, énurésie, hyperactivité et troubles de l’attention, pathologies ostéo-articulaires de croissance… ;
- Voies respiratoires (VR) : affections ORL chroniques ou récidivantes (angine, bronchite, otite, pharyngite, rhinite, sinusite, trachéite…), allergies respiratoires, asthme, etc.
Le traitement thermal
La médecine thermale propose un protocole thérapeutique spécifique à chaque indication. Les soins thermaux s’inscrivent dans une prise en charge globale de la pathologie.
Soins thermaux
Une cure thermale se base principalement sur la crénothérapie, c’est-à-dire l’utilisation thérapeutique de l’eau thermale et de ses dérivés (boue, vapeur et gaz thermaux). Il existe une grande variété de soins thermaux individuels ou collectifs :
- soins d’hydrothérapie externe : balnéothérapie (bains thermaux généraux ou locaux), douches thermales, application de compresses d’eau mère, modelages et massages sous affusion d’eau thermale ;
- soins d’hydrothérapie interne : instillation d’eau thermale par voie basse (douche intestinale, entéroclyse, irrigation vaginale) et soins de la sphère ORL (aérosols, douche pharyngienne, gargarismes, irrigation nasale, pulvérisation buccale, etc.) ;
- soins en piscine d’eau thermale : bains collectifs, couloir de marche à contre-courant, séances de mobilisation ;
- soins à base de vapeur et de gaz thermaux : étuves générales ou locales, injection sous-cutanée de gaz thermal, insufflation tubaire dans le conduit auditif ;
- soins de boue ou pélothérapie : bains de boue, illutations (application de boue associée à de l’eau thermale), cataplasmes de boue thermale ;
- cure de boisson (ingestion d’eau thermale).
Les soins proposés dépendent de l’orientation thérapeutique de la cure. Ils sont dispensés par des agents thermaux qualifiés ou des professionnels de santé (infirmiers, kinésithérapeutes, médecins).
Programmes complémentaires
En plus des soins de crénothérapie, les établissements thermaux mettent en place des modules spécifiques pour certaines pathologies :
- pratiques médicales complémentaires : séances de kinésithérapie, drainage lymphatique, etc. ;
- ateliers d’éducation thérapeutique pour mieux connaître la maladie et apprendre à la gérer au quotidien : conférences, conseils hygiéno-diététiques, échanges avec les autres curistes, relaxation, etc. ;
- activité physique adaptée (APA) : gymnastique douce, yoga, Pilates, etc.
La prise en charge des cures thermales par l’Assurance maladie
Dans le système de santé français, les cures thermales sont remboursées par la Sécurité sociale sous certaines conditions.
Conditions de prise en charge de la cure
Pour bénéficier d’une prise en charge par l’Assurance maladie, une cure thermale doit :
- faire l’objet d’une prescription médicale par un médecin (généraliste ou spécialiste) ou un chirurgien-dentiste pour les affections des muqueuses bucco-linguales ;
- être motivée par une pathologie chronique relevant de l’une des douze orientations thérapeutiques remboursées par l’Assurance maladie ;
- comporter 18 jours de soins ;
- s’effectuer dans un établissement thermal agréé et conventionné par l’Assurance maladie.
Il est possible de suivre une cure en double orientation pour soigner simultanément deux affections appartenant à deux indications différentes proposées dans la même station thermale.
Accord de prise en charge
Avant le séjour thermal, le curiste doit adresser à sa caisse d’assurance maladie une demande de prise en charge via le formulaire Cerfa n° 11139 constitué de deux parties :
- un questionnaire de prise en charge rempli par le médecin prescripteur ;
- une déclaration de ressources à remplir par le curiste et à accompagner des justificatifs nécessaires.
L’Assurance maladie délivre ensuite un accord de prise en charge valable pour l’année civile en cours.
Taux de remboursement des cures thermales conventionnées
La Sécurité sociale prend en charge les honoraires médicaux de la cure :
- forfait de surveillance médicale à 70 % du tarif conventionnel (80 € pour une cure simple orientation et 120 € pour une cure double orientation) ;
- forfait thermal à 65 % du tarif conventionnel (variable selon les soins thermaux réalisés pendant la cure).
Les soins complémentaires et les prestations de confort restent à la charge du curiste ou peuvent être prises en charge par les complémentaires santé. Les frais d’hébergement ainsi que les frais de transport peuvent bénéficier d’un remboursement forfaitaire par l’Assurance maladie, sous conditions de ressources. Les modalités de prise en charge sont différentes dans certains cas particuliers : affection de longue durée (ALD), maladie professionnelle, hospitalisation ou mineur séjournant en maison d’enfants.
Cures thermales libres
Les établissements thermaux proposent également des cures thermales libres, non conventionnées, donc non soumises à prescription médicale et non remboursées. Il s’agit souvent de cures thermales courtes d’une durée de 3 à 12 jours.
Quel suivi médical pendant le séjour thermal ?
Une cure thermale conventionnée prescrite par un médecin et remboursée par la Sécurité sociale comporte trois consultations obligatoires avec un médecin thermal :
- une première consultation en début de cure, avant les premiers soins, pour établir un bilan de la maladie chronique et définir un programme de soins adapté ;
- une visite médicale autour du 8e jour pour faire le point sur l’état de santé du curiste et l’efficacité des soins ;
- une dernière consultation en fin de séjour pour dresser un compte-rendu de la cure, qui sera adressé au médecin prescripteur.
Le médecin thermal est également amené à administrer certains soins thermaux plus techniques, comme le déplacement de Proëtz (irrigation des sinus avec de l’eau thermale) ou la douche filiforme (fin jet d’eau thermale sous forte pression).
L’efficacité des cures thermales
Chaque année, plus de 500 000 personnes suivent une cure thermale, et 97 % des curistes rapportent des effets durables confirmés par la recherche clinique.
Une prise en charge globale des pathologies chroniques
L’efficacité des cures thermales est en grande partie liée aux bienfaits de la crénothérapie dont le mécanisme d’action est triple :
- une action physico-chimique, via le passage à travers la peau des sels minéraux et oligo-éléments présents dans les produits thermaux ;
- une action mécanique de par la puissance du jet et la portance de l’eau, qui facilite les mouvements ;
- une action thermique conférée par la chaleur, qui décontracte et apaise.
L’éducation à la santé, les activités de détente et le cadre reposant de la cure participent également aux effets curatifs du séjour thermal. Les trois semaines de cure loin du stress et de l’environnement quotidien constituent une parenthèse bénéfique sur le plan psychologique.
Des bénéfices prouvés par la recherche thermale
La médecine thermale fait l’objet de nombreuses recherches à travers le monde. En France, l’AFRETh mène depuis 2004 des études cliniques évaluant les effets thérapeutiques des cures thermales. Plusieurs de ces travaux ont été publiés dans des revues internationales. Citons par exemple :
- l’étude THERMARTHROSE (2005) démontrant le service médical rendu (SMR) de la cure thermale pour l’arthrose du genou (gonarthrose) ;
- l’étude MAATHERMES (2006) sur le SMR de la cure thermale en cas de surcharge pondérale ;
- l’étude THERMES&VEINES (2007) illustrant le SMR de la cure thermale en phlébologie dans le traitement de l’insuffisance veineuse chronique sévère ;
- l’étude PACTHE (2009) montrant le SMR du programme thermal post-cancer du sein ;
- l’étude STOP-TAG (2020) concernant le SMR de la cure thermale contre le trouble anxieux généralisé (TAG) ;
- l’étude THERMALGI (2022) évaluant le bénéfice clinique de la cure thermale pour la fibromyalgie.
De manière générale, les résultats attestent d’une diminution significative de la douleur et de la consommation médicamenteuse, et plus largement d’une amélioration durable de la qualité de vie des patients.
La classification et les bienfaits des eaux thermales
Une eau thermale est une eau minérale naturelle dont les vertus curatives sont reconnues par l’Académie de médecine. On distingue différents types d’eaux thermales selon leurs caractéristiques physico-chimiques.
Température des sources thermales
Le mot « thermes » vient du grec ancien « thermos » signifiant « chaud ». Pourtant, les eaux thermales ne sont pas toutes chaudes ! Leur origine géologique détermine leur température d’émergence :
- Les eaux chaudes ou hyperthermales (supérieures à 40 °C) se forment en profondeur par condensation des gaz magmatiques.
- Les eaux thermales froides (inférieures à 25 °C) sont des eaux de surface issues des précipitations, utilisées principalement en cure de boisson.
- Les eaux mésothermales (25 à 34 °C) proviennent de la rencontre entre les eaux profondes et superficielles, et conviennent aux bains prolongés.
Composition minérale
Tout au long de leur parcours souterrain, les eaux thermales se chargent en sels minéraux et oligo-éléments. Selon leur nature, on distingue cinq grandes familles d’eau thermale :
- L’eau thermale bicarbonatée possède des propriétés digestives, cicatrisantes et vasodilatatrices exploitées respectivement lors des cures en affections digestives, dermatologie et maladies cardio-artérielles.
- L’eau thermale chlorurée est une eau saline à l’action stimulante, tonifiante et antalgique indiquée pour les troubles du développement chez l’enfant, la neurologie et la gynécologie.
- L’eau thermale sulfatée, réputée pour ses vertus diurétiques et laxatives, traite les affections urinaires et digestives.
- L’eau thermale sulfurée ou eau sulfureuse, riche en soufre anti-infectieux et anti-inflammatoire, est principalement employée dans l’orientation thérapeutique « voies respiratoires » et en rhumatologie.
- L’eau thermale oligo-métallique est faiblement minéralisée, mais contient des oligo-éléments essentiels (cuivre, fer, arsenic, zinc…) indispensables à l’organisme.
Comment sont contrôlés les produits thermaux ?
Les eaux thermales et leurs dérivés font l’objet d’analyses rigoureuses régulières pour garantir leur qualité microbiologique et leur efficacité thérapeutique.
Réglementation sanitaire relative aux eaux thermales
En France, l’exploitation des eaux thermales est encadrée par une législation stricte. Une eau minérale naturelle ne peut être utilisée à des fins thérapeutiques qu’après l’obtention d’une autorisation préfectorale. L’Agence régionale de santé (ARS) instruit la demande en concertation avec un hydrologue agréé et le Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (CODERST).
L’ARS assure ensuite le contrôle sanitaire des eaux thermales à travers des mesures de paramètres microbiologiques (à la source et aux points d’usage) et des inspections sur site.
Contrôle qualité des boues, vapeurs et gaz thermaux
Les dérivés de l’eau thermale ne sont soumis à aucune réglementation officielle. Toutefois, le CNETh a élaboré un guide des bonnes pratiques thermales (GBPTh) pour prévenir les risques sanitaires liés à l’utilisation de ces produits. Les professionnels du thermalisme ont étendu la démarche qualité basée sur une analyse HACCP (analyse des dangers et points critiques pour leur maîtrise) appliquée pour l’eau minérale naturelle à l’ensemble des dérivés thermaux.
Quelles différences entre thermalisme et thalassothérapie ?
Il existe parfois une confusion entre la cure thermale et la thalassothérapie. Contrairement à une cure thermale, la thalassothérapie propose des soins :
- à base d’eau de mer (le préfixe « thalasso » vient de « thalassa » qui signifie « mer » en grec ancien), d’algues et de boues marines, et non d’eau minérale ;
- à visée de détente et de bien-être uniquement, et non thérapeutique ;
- non remboursés par l’Assurance maladie depuis 1998.
L’histoire des cures thermales
Les propriétés curatives des sources d’eau chaude sont connues et exploitées depuis la nuit des temps. L’histoire du thermalisme débute ainsi dès l’Antiquité. Une grande partie des établissements thermaux actuels se situent d’ailleurs à l’emplacement d’anciens thermes romains. Le thermalisme tombe dans l’oubli après la chute de l’Empire romain, puis connaît un regain d’intérêt au Moyen-Âge et se développe au cours du XIIIe siècle.
Les premières cures thermales apparaissent à la Renaissance. Aux bains traditionnels s’ajoutent de nouvelles pratiques thermales, telles que les douches ou les cures de boisson. Le roi de France Henri IV crée en 1604 une Charte des eaux minérales. Des établissements thermaux se construisent et se modernisent, prenant parfois des dimensions monumentales.
Le XIXe siècle signe l’âge d’or du thermalisme. L’avènement du chemin de fer sous le Second Empire rend les villes d’eaux plus accessibles. Les stations thermales se dotent de complexes thermaux prestigieux et d’un riche patrimoine (villas, palaces, casinos, théâtres, hippodromes…) qui attirent les curistes les plus fortunés. Les cures thermales se démocratisent au XXe siècle avec l’apparition des premiers congés payés et du tourisme de masse, puis le remboursement des soins par la Sécurité sociale à partir de 1947.
La médecine thermale en France
Aujourd’hui, la France est le troisième pays thermal européen, derrière l’Allemagne et l’Italie, avec 90 stations thermales en activité, 110 établissements thermaux et 770 sources thermales répertoriées. Le thermalisme français est représenté par différentes instances nationales.
Conseil national des établissements thermaux (CNETh)
Créé en 2002, le CNETh est l’instance représentative des établissements thermaux. Ce dernier assure trois missions principales :
- participer à l’évaluation scientifique de l’efficacité des cures thermales ;
- promouvoir la médecine thermale auprès du grand public et des professionnels de santé ;
- défendre les intérêts des centres thermaux au niveau de l’État.
Association française pour la recherche thermale (AFRETh)
Créée en 2004, l’AFRETh mène des études cliniques pour valider les bienfaits thérapeutiques du thermalisme. Son conseil scientifique se compose d’universitaires et d’experts reconnus.
Autres instances nationales
Le thermalisme français comprend également les sociétés savantes et organisations suivantes :
- l’Association française des techniques hydrothermales (AFTH) ;
- l’Association nationale des maires des communes thermales (ANMCT) ;
- le Conseil national professionnel (CNP), composé de la Société française de médecine thermale (SFMTh), du Syndicat national des médecins thermaux (SNMTh) et du Collège des enseignants en médecine thermale (CEMTh) ;
- la Fédération thermale et climatique française (FTCF).
Les cures thermales dans le monde
Le thermalisme est reconnu à l’étranger, notamment en Europe, terre de forte tradition thermale. L’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et les pays de l’Est proposent une offre thermale comparable à celle de la France, que ce soit en termes de types d’eaux thermales, d’indications thérapeutiques, de soins thermaux et de personnel thermal. Seuls diffèrent le statut des centres thermaux, considérés ou non comme des établissements de santé, et la prise en charge des soins. La construction d’un réseau européen de recherche thermale est en cours.
Les cures thermales se pratiquent également en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, au Japon, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. La Fédération mondiale du thermalisme et du climatisme (FEMTEC), fondée en 1937 et basée en Italie, réunit les acteurs thermaux de 30 états membres.
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Sources :
- Les stations thermales : de l’abandon à la renaissance. Une brève histoire du thermalisme en France depuis l’Antiquité (In Situ – Revue des patrimoines)
- Histoire des stations thermales (Gallica – Bibliothèque numérique de la BnF)
- Médecine thermale : 2000 ans d’histoire (Eurothermes)
- Dossier « Médecine thermale » (Vidal)
- Expliquer les modalités des cures thermales et en justifier la prescription (Faculté de médecine de Toulouse)
- Eaux thermales (site du ministère de la Santé et des Solidarités)
- Prévention des risques sanitaires en secteur thermal (École nationale de la Santé publique)
- Effectuer une cure thermale : formalités et prise en charge (site de l’Assurance maladie)
- Cure thermale : prise en charge par l’Assurance maladie (service-public.fr)
- Quelle est la différence entre la cure thermale et la thalassothérapie ? (Thermes Dax)
- Site du CNETh
- Site de l’AFRETh
- Site de la Société française de médecine thermale
- Site de la FEMTEC
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